Le livre que je ne voulais pas écrire

Je suis romancier.
J’invente des histoires. Des intrigues. Des personnages.
Et, j’espère, une langue. Pour dire et questionner le monde, l’humain.
Il m’est arrivé une mésaventure, devenue tuile pour le romancier qui partage ma vie : je me suis trouvé un soir parisien de novembre au mauvais endroit au mauvais moment ; donc lui aussi.

Il s’agit de littérature. Il s’agit d’un écrivain. Erwan Larher aborde l’inabordable avec une intelligence incroyable, à juste distance de tout. Il ne fait pas un livre « sur », mais réussit un livre « autour ». […] C’est surtout un putain de bon livre les amis. Un putain de bon livre comme vous en lirez peu. […] C’était impossible, il l’a réussi. Pour lui, pour eux, pour nous. On n’est pas seulement admiratif, mais reconnaissant. […] Il est, comme toutes les grandes œuvres, évident.  (Julien d’Abrigeon, Tears in my beers)

Une écriture impeccable et fluide. […] Ce livre, on le like, on le surlike. (Baptiste Liger, Technikart)

Un travail profondément littéraire, qui, passant du « tu » au « il », tend tout entier vers ce moment magistral où Erwan Larher enjambe ce drame pour « redevenir « je » ». (Hubert Artus, Lire: )

On est dans l’humain, dans l’amour et dans l’amitié. Et surtout dans la littérature (il faudra que l’on parle de la construction, du rythme des pages finales, des ces répétitions fin de chapitre-début de chapitre, de ces allers-retours extérieur-intérieur). Objet littéraire, donc ? Peu importe. C’est un grand livre. (Gilles Marchand, écrivain)

Du grand art. Une impressionnante leçon d’écriture. […] Une lecture vigoureusement redoutable et pleinement indispensable. (Hugues Robert, Librairie Charybde, Paris)

Un des grands livres de la rentrée. Pour plein de raisons. Si mes mots peuvent aider ce sacré bon et nécessaire bouquin, je serai un libraire heureux. Ce roman distille le riff de la vie au milieu de l’horreur et de la bêtise. Ce roman bouleverse par son ton et son courage, son humilité et son désir de vie.» (Benoît Minville, FNAC La Défense)

Un récit choral bouleversant. (Géraldine G., librairie La Buissonnière)

La claque. Larmes aux yeux. Chair de poule. Émouvant. Touchant. Poignant. Drôle aussi. Merci. (Audrey Andriot, librairie Jonas, Paris)

Erwan Larher évite tous les pièges et nous offre un livre drôle, subtil et essentiel en ces temps troublés. Un vrai vent de fraîcheur qui est franchement réjouissant. (Yohan Geffroy, librairie La belle lurette, Paris)

Erwan Lahrer trouve un équilibre remarquable entre le récit des événements, le dévoilement intime des souffrances qui suivront et la réflexion sur le rôle de l’écrivain. […] C’est bien un objet littéraire qui sort de cette histoire. Qui ne rechigne pas à jouer de l’humour mais aussi, et c’est très réussi, du suspense. (Philippe Marczewski, librairie Livre aux trésors, Liège)

Ce livre est tendre et bouleversant, poignant. Il donne sa place à la littérature : se faire l’écho de l’indicible. (Charlotte Desmousseaux, librairie La vie devant soi, Nantes)

C’est un vrai roman, un vrai travail d’écriture […] Je vais le vendre ce putain de bouquin qui m’a serré la gorge plus souvent qu’il n’aurait dû ! Et si je n’y arrive pas c’est que vraiment, je dois faire un autre métier… (Nadège Mulé, librairie Sur les chemins du livre, Saint-Amand-Montrond)

C’est beau, pudique, drôle aussi, sincère surtout. (David Goulois, Cultura Chambray-les-Tours)

Un rythme particulier et une richesse indéniable, sans pathos aucun. Pour autant, ne pensez surtout pas avoir affaire à une prose simplement originale. Préparez-vous à être secoué, gravement ! Certains passages se lisent en apnée. (Julie Vasa, By the Lake)

Loin du simple témoignage, il pose son regard d’écrivain sur cette nuit et sur l’après Bataclan avec énormément de pudeur, de justesse et malgré tout beaucoup d’humour. Les voix de ses proches se mêlent au récit et donnent à ce texte une force inouïe. On en ressort sonné, grandi et un peu plus vivant. (Delphine Cambet, Librairie AB, Lunel)

… un bouquin magnifique, essentiel, drôle, pertinent, bouleversant. En fait, ce livre m’a tellement touchée, si intensément, que je ne peux pas ne pas écrire ces quelques mots que je ne voulais pas écrire. (Marie Musy, Librairie du Midi, Oron-la-Ville)

D’une sincérité bouleversante. L’ensemble est si bien rythmé, si bien construit, et si violemment intense que vous ne pourrez pas refermer ce livre sans vibrer encore d’une émotion à fleur de peau. (Hélène Woodhouse, libraire à Lille)

Un exercice périlleux qu’il relève avec brio, digne dans la douleur, allant au-delà du simple témoignage pour livrer une réflexion métaphysique sur la mort, doublée d’une leçon d’écriture. (Amandine Schmitt, Bibliobs)

Buissonnier des chemins embarrassés du “témoignage”, tu nous traverses le cœur, Erwan. Sous couvert de ta quête pudique de “l’objet littéraire”, tu irradies, désarmant, d’une humanité primordiale face à l’ineffable. Et si tu nous convies à sourire après les HURLEMENTS, nous ne te lisons pas sans larmes. (Hugo Latreille, Librairie Nouvelle, Asnières)

On oscille à chaque page entre rires et larmes, même si on ne rit pas de cette distance infime entre l’arme et sa tête, mais qu’il arrive à nous rendre énorme par cette vie qui lui coule dans les veines à chaque phrase. Alors non, Erwan ne sera jamais un héros, un miraculé, pas un revenant du couloir blanc, mais un homme bien vivant qui bande au soleil et emmerde profondément ceux qui ont voulu lui faire quitter notre planète des singes. Still rocking ! Un livre indispensable à qui a peur de demain, car ici c’est la vie qui enfle au fil des pages et ne s’arrête pas aux écluses de l’excuse. Erwan Larher réussit à être ce funambule de l’instinct qui penche d’un côté à l’autre d’un fil avec un stylo affûté dans la main comme unique balancier. (Jean-François Delapré, Librairie Saint-Christophe, Lesneven)

On est grâce à ce texte encore plus vivant. (Gilles Perrotin, Librairie Le Marque-Pages, Quintin)

Que dire ? Comment le dire ? Dire ce que ce livre n’est pas : ce n’est pas le témoignage d’une victime du Bataclan, ce n’est pas un récit journalistique, ce n’est pas du jus de pathos, ce n’est pas…
Non. Dire ce que la lecture de ce livre m’a fait : rire, pleurer, acheter des chaussures et monter le volume encore plus dès que j’écoute du bon rock.
Mais tout ça n’est pas suffisant. Le livre que je ne voulais pas écrire fait partie de ces ouvrages dont il est impossible de parler en tant que libraire, il oblige à parler en tant que lecteur, dans la nudité et l’intime des nuits où on arrive pas à lâcher un livre parce que le lâcher ce serait lâcher un frère, un soi-même.
Je ne connais pas Erwan Larher, pas ce qu’il a écrit d’autre mais je reconnais dans sa sincérité, sa justesse, sa pudeur, son engagement, son humour, son humanité un membre de ma «fratrie». Ce livre bouleverse, donne des coups de pieds au cul (j’ai pas pu m’empêcher), donne à entendre ces voix que l’on croit tues, ces voix qui nous disent qu’on n’est pas seuls dans notre humanisme timide, ridicule et ravageur. (Jacques Houssay, Librairie du Boulevard, Genève)

Ici nous ne sommes pas en présence de littérature mais de Littérature et p….. qu’est-ce que ça fait du bien ! (Aurélie Barlet, Librairie Acropole, Nice)

C’était un projet casse-gueule, sans doute. Le résultat est un récit touchant, parfois dérangeant peut-être, salutaire en tout cas, nécessaire. À lire, à partager. Merci, Erwan Larher. (Monica Irima, Librairie de la Comédie, Bordeaux)

Ce n’est pas « juste » le témoignage d’un rescapé du Bataclan, c’est un vrai roman, un vrai travail d’écriture. Impossible de le lâcher! (Nadège Mulé, Sur les chemins du livre, Saint-Amand-Montrond)

Inspiré. Fort. Et même drôle. (Vanina Le Gall, La Nouvelle République)