Entre toutes les femmes

Couv_ETLF_smallSur les ondes, chaque semaine, elle est La Voix, magnétique conteuse adulée par tous les sujets de l’Empire. Le reste du temps, Cybèle Ibarruri traverse l’existence avec une insouciante gaîté. Jusqu’à ce qu’un inconnu soit assassiné sous ses yeux en lui remettant une lettre, qui lui enjoint de raconter l’épopée d’Arsène Nimale.
Cet homme, lit-elle, faillit changer le cours de l’Histoire quatre siècles plus tôt, juste avant la Grande Catastrophe.
Pourquoi alors n’y a-t-il aucune trace de lui dans les livres ni sur le Réseau ? Pourquoi un petit groupe s’active-t-il en cachette de l’impitoyable pouvoir impérial pour écrire son destin et retranscrire son message ? Et surtout, pourquoi Cybèle a-t-elle l’impression, en s’emparant de l’intrigue, que sa vie bascule ?
Dans une langue riche et inventive, ce récit initiatique haletant aux airs de roman noir et de saga d’anticipation interroge sans concession notre présent.
(Sans en être à proprement parler une suite, Entre toutes les femmes prolonge et questionne Autogenèse, roman qui narre l’ascension d’Arsène Nimale.)

 C’est une histoire dingue et haletante, ambitieuse surtout, écrite par un des auteurs les plus talentueux de cette génération.
C’est notre histoire.
Notre histoire contée merveilleusement par la langue riche et pointue d’Erwan Larher, qui considère son lecteur, ne le laisse jamais face à la facilité, mais qui veut le faire grandir, le faire se questionner, n’être pas tout à fait le même une fois le roman fermé. (Charlotte Milandri, L’insatiable)

Et, bien sûr, bien sûr, ce qui reste, et qui retentit longtemps, c’est une voix. La vôtre. Très originale, très personnelle, très libre. Revigorante et roborative. Par rapport, oserai-je le dire, à beaucoup d’auteurs français du roman, d’écritures soi-disant blanches. Aphones. (Luc Blanvillain)

Un fantastique roman d’aventure, passionnant de bout en bout, truffé d’humour et de références littéraires, un roman sensuel et généreux à l’image de son héroïne. (Delphine Cambet, Librairie AB sur Addict-culture)

Beau conte d’anticipation, philosophique et politique, dystopie bourrée à craquer d’action, d’émotion, et de réflexion. […]  Larher n’est pas auteur à mâcher le plaisir à son lecteur, qui doit y mettre du sien. Cette fiction totale requiert une immersion confiante et humble. […] On sort de cette lecture qui n’est pas neutre : ébahi, moulu, fourbu, mais prêt à retourner lire du Larher !
(Le blogue de Tilly)

Ambitieux, lucide, profond, Entre toutes les femmes est un roman intelligent avec une écriture subtile, exigeante et puissante. (Nathalie Couderc, Librairie de Caussade)

Le fond est là, à la fois intelligent et galvanisant. Et il est servi par une efficacité romanesque impeccable. (Second Flore)

Erwan Larher sait à merveille se déplacer d’un personnage à l’autre ou dans le passé des acteurs de son roman sans perdre le lecteur, jouant avec humour sur les stéréotypes (Laurent Greusard, K-libre)

On retrouve toute la verve de l’auteur d’Autogenèse avec cette formidable dystopie au carré, narrée dans une langue savoureuse, fine et créative. Entre tous les livres de cette rentrée, c’est celui-ci qu’il faut découvrir ! (Hélène Reynaert, Librairie le Bateau-Livre)

Une écriture sans concessions, préférant tirer le lecteur vers le haut […] Erwan Larher est à mon avis un des auteurs les plus intéressants et exigeants de sa génération. (En lisant en voyageant)